A l’attention de mon père
هذه قصيدة كتبتها منذ يومين باللغة الفرنسية مهداة الى روح والدي اسال الله له الرحمة واطلب من كل اخ او خت قراها وفقه مفرداتها ومعانيها ان يخصه بالدعاء ولكم مني اسمى عبارات التقدير اخوكم من ديار الغربة احمد ياسين O mon père O mon père que tu es supèr Tu es pour moi dans mon corps comme un morceau de chair Le jour où tu es décédé j’étais plein de colère Parfois on ne peut pas exprimer le deuil Mais des sentiments montrent les indices de cette misère Je vis en France sur le gazon Et croyez moi je suis comme dans le désèrt A cause de toi je suis rentré à l’hôpital C’était la première fois qu’une prise de sang m’etait faite par une infermière ÅÞÊÈÇÓ:
ÅÞÊÈÇÓ:
Et choisissant entre l’expéditeur et le destinataire Ton absence me fait rentrer dans un amalgame Et je ne sais quoi faire Les sentiments ont des références soit de joie ou de tristesse Et parmi eux plusieurs choses restent mystère Une semaine avant que tu sois décédé j’etait coincé avec des rendez- vous Qui exigent de respecter les horaires En fait j ai rêvé que j’arrachais ma dent Et beaucoup de monde portaient des vêtements blancs Et se rassemblaient en plein air ÅÞÊÈÇÓ:
ÅÞÊÈÇÓ:
Beaucoup de larmes tombées on dirait une rivière Je ne t’oublierai jamais je reste fidèle a toi Et je te promets q’un jour on se rencontra au cimetière Tu es décédé mais tu existes comme une cellule Et mon corps ne doit pas marcher sans cœur J’ais appris plein de choses loin de toi Mais ton éducation m’a clarifié les problèmes et grâce a tes consignes Je peux combattre mon adversaire ÅÞÊÈÇÓ:
ÅÞÊÈÇÓ:
Le paradis sera l’enfèr Dors toi chèr père et prends soin t’inquiète Je t’envois chaque fois ce que tu as laissé ça sera pour toi un cadeau de l’aid et pou moi une convention signée Je meurs fidèle à toi et avec les gens je serais toujours sincère ÅÞÊÈÇÓ:
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ÈÇáÑÛã Ãäí áÇ ÃÌíÏ ÇáÝÑäÓíÉ ÅáÇ Ãäí ÓÃÏÚæ áæÇáÏß ÈÇáÑÍãÉ æÇáãÛÝÑÉ
æÃä íÏÎáå Çááå ÝÓíÍ ÌäÇäå æÃä íÌÚá ÞÈÑå ÑæÖÉ ãä ÑíÇÖ ÇáÌäÉ ÈÇÑß Çááå Ýíß ãä ÅÈä ÈÇÑò ÈÃÈíå æÃßËÑ Çááå ãä ÃãËÇáß |
ÌÒÇß Çááå ÎíÑÇ æÈÇáÇÍÓÇä ÇÍÓÇäÇ ÇÎÊí ÎÇØÑÉ æÌÚáß Çááå ãä ÇáãÞÈæáíä Ýí åÐÇ ÇáÔåÑ ÇáßÑíã |
Oh, mon frère Ahmed c'est la vie :mecry: LA MORT DE MON PERE J'ai vécu une des plus belles expériences de ma vie quand allongé sur le lit de mon père je m'endormais près de lui, sa main dans la mienne ou l'inverse, au risque qu'il s'en aille pendant notre sommeil. Je n'imaginais pas que mon père, si faible et découragé depuis tant d'années allait se reconstruire en quelques jours pour devenir le père que j'attendais. J'ai bien vu et j'ai bien senti la force et le pouvoir de vos prières toutes rassemblées. Le mystère de la foi dont on parle à l'église ne m'a pas semblé Bien grand ; j'ai vu la foi simplement. J'ai eu le sentiment de tenir une main sacrée dans la mienne, celle d'un homme neuf et sage, débordant de vie ; c'était la main d'un mourrant qui réchauffait la mienne, la main de mon père. Dans ma tête, rien de compliqué, de triste ou d'ennuyeux, seul le bonheur régnait. Je le regardais ; il était comme un prince au bois dormant et par sa main tout l'héritage m'était donné. Alors je m'endormais comme une masse, comme un enfant rempli de tous ses rêves (De concours hippique) , sans m'inquiéter de cette mort imminente. Les trois derniers jours de la vie de mon père ont été des jours heureux. Le troisième jour, quand j'ai pris la route pour la Sauge je m'expliquais mal les raisons de mon impatience. J'avais égaré mes papiers en changeant de voiture à la gare de Sens et j'ai cherché pendant une heure. Chacun vous dit : " je tenais à être là quand il est parti " Ma raison était un peu différente ; m'endormir encore une fois prés de mon père pour revivre le bonheur de la veille. Je me disais : " Ce soir encore, lui qui a tellement soif te donnera l'eau de son puits. " Quand j'arrivai à la Sauge tout était fini depuis une heure. Pendant qu'Ivan et Didile s'affairaient à chercher un médicament égaré, il était parti, sa main dans celle de Marie. C'est ainsi qu'il est devenu la vieille écorce qu'on deviendra. Là, sur ce lit, dans cette chambre que j'aimerai un peu plus que les autres désormais, on a pu voir pendant deux jours encore l'image de ce Prince au bois dormant, le Pacha. Gouaix le 26 janvier 2004 Frédéric Jager |
nous sommes a Dieu et a Lui nous retournons
Je vis en France sur le gazon Et croyez moi je suis comme dans le désèrt A cause de toi je suis rentré à l’hôpital C’était la première fois qu’une prise de sang m’etait faite par une infermière salut chef, ben ça va, mais bon, ecoute là, regarde ce passage en rouge, j ai l impression que ton pere etait cruel et il t'a fait de mal, alors q c est a cause de lui t es rentre a l'hop ben c est pas moi qui dit ça, c est toi, regarde bien ton expression je veux dire frero que cette pharset un peu bizzare si tu veux dire avec, que ton pere n etait q du bien avec toi alors, fallait dire autre chose n'est ce pas? ecoute moi là, si je te dis : je suis rentre a l'hpital a cause de mon pere oh la vache, mais q est ce qu il m'a fait ce type là!!! il m'a cassé la geule avec un coup de point ou koi ??? laisse tomber thalla :New2: |
[quote=Orkida]
Oh, mon frère Ahmed [/QUOTEc'est la vie :mecry: LA MORT DE MON PERE J'ai vécu une des plus belles expériences de ma vie quand allongé sur le lit de mon père je m'endormais près de lui, sa main dans la mienne ou l'inverse, au risque qu'il s'en aille pendant notre sommeil. Je n'imaginais pas que mon père, si faible et découragé depuis tant d'années allait se reconstruire en quelques jours pour devenir le père que j'attendais. J'ai bien vu et j'ai bien senti la force et le pouvoir de vos prières toutes rassemblées. Le mystère de la foi dont on parle à l'église ne m'a pas semblé Bien grand ; j'ai vu la foi simplement. J'ai eu le sentiment de tenir une main sacrée dans la mienne, celle d'un homme neuf et sage, débordant de vie ; c'était la main d'un mourrant qui réchauffait la mienne, la main de mon père. Dans ma tête, rien de compliqué, de triste ou d'ennuyeux, seul le bonheur régnait. Je le regardais ; il était comme un prince au bois dormant et par sa main tout l'héritage m'était donné. Alors je m'endormais comme une masse, comme un enfant rempli de tous ses rêves (De concours hippique) , sans m'inquiéter de cette mort imminente. Les trois derniers jours de la vie de mon père ont été des jours heureux. Le troisième jour, quand j'ai pris la route pour la Sauge je m'expliquais mal les raisons de mon impatience. J'avais égaré mes papiers en changeant de voiture à la gare de Sens et j'ai cherché pendant une heure. Chacun vous dit : " je tenais à être là quand il est parti " Ma raison était un peu différente ; m'endormir encore une fois prés de mon père pour revivre le bonheur de la veille. Je me disais : " Ce soir encore, lui qui a tellement soif te donnera l'eau de son puits. " Quand j'arrivai à la Sauge tout était fini depuis une heure. Pendant qu'Ivan et Didile s'affairaient à chercher un médicament égaré, il était parti, sa main dans celle de Marie. C'est ainsi qu'il est devenu la vieille écorce qu'on deviendra. Là, sur ce lit, dans cette chambre que j'aimerai un peu plus que les autres désormais, on a pu voir pendant deux jours encore l'image de ce Prince au bois dormant, le Pacha. Gouaix le 26 janvier 2004 Frédéric Jager le deuil est le deuil mais il n'ya pas de comparaison |
ÅÞÊÈÇÓ:
:New2: mais c'est pas vrais |
on va tous partir un jour et chaqu'un son tour ...le jour va venir..mais c'est tres difficile de voir nous quitter à jamais les gens les plus chères...mais la vie est faite comme ça c'est pour ça il faut profiter au maximum de notre vie pour être une source de bonheur pour ceux qui nous aiment.....
je te félécite frère ahmad yacine sur ce poème. |
Merci beaucoup ma chere soeur fatate Arabia |
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